mardi 24 août 2010

LA recette de muffin

Alors voilà! Puisque mon stress augmentente considérablement à chaque jour et qu'il me reste environ 15 minutes avant d'aller nager, je me suis dit que parler d'un de mes trop nombreux hobby vallait le coup. En fait, j'y vais très court parce que je dois aller nager et rouler!

Donc, J'ADORE cuisiner!
Ma tante qui habite Vernon sur les rives du Lac Okanagan m'a transmis en 2007 cette recette géniale de muffins. À mon tours de la partager avec image en prime comme support. La version que je préfère est celle proposée: aux bleuets (en plus c'est de saison)!
Ceux de ma tante accompagnés des délicieux fruits de l'Okanagan... nostalgie !
Best blueberry muffins

1 1/2 Tasse buttermilk (babeurre, c'est près des crèmes et du lait en épicerie)
1 1/2 Tasse de fhlocons d'avoine (je prend la marque Milanaise, biologique)
1 1/4 Tasse de farine tout usage non blanchie (peut aussi être de la farine tout usage normale)
1 cuillère à thé de poudre à pâte (ex. Magic powder Baking powder)
1 cuillère à thé de bicarbonate de soude (baking soda)
1/2 cuillère à thé de sel
1/3 de tasse d'huile végétale
2 oeufs
1/2 tasse de cassonade ou sucre roux (le sucre blanc, le miel ou la melasse fonctionnent aussi)
1/2 cuillère à thé d'extrait de vanille (essence de vanille)
1 tasse de bleuets, frais ou congelés, ou encore n'importe quel fruit que vous appréciez

Préchauffer le four à 375 F

Ajouter le buttermilk aux flocons d'avoines, mélanger et laisser reposer.

Combiner farine, bicarbonate de soude, poudre à pâte et sel, garder de côté.

Battre l'huile végétale, les oeufs, le sucre et l'extrait de vanille ensemble.

Ajouter le mélange de babeurre aux ingrédients humides.

Ajouter les ingrédients secs tous en même temps au mélange humide et bien mélanger jusqu'à ce que les ingrédients soient seulement bien répartis (n'habusez pas, chimie des aliments oblige!!)

Ajouter doucement les bleuets ou les fruits de votre choix.

Déposer à la cuillère dans la plaque à muffin (mettre des moules de papier, mais je préfère de loin la version montrée en illustration).
Cuire 20 à 25 minutes ou jusqu'à ce que le dessus soit doré.
Si vous n'avez pas de buttermilk, prendre une cuillère à soupe de jus de citron et le mettre dans le lait. Ma tante écrit que ça fait la même chose.

Donne environ 12 muffins que vous n'aurez jamais vu partir aussi rapidement.

Appréciez bien, je crois que j'en fait ce soir!!

MPier :)















mardi 17 août 2010

Quand MPier l'indépendante l'est un peu moins

Ceux qui me connaissent depuis des années savent très bien qu'indépendance et individualité riment avec ma personnalité autant au niveau sportif que dans la vie de tous les jours. Après tout, je n'ai pratiqué avec sérieux que des sports individuels depuis mes 6 ans, laissant RDS et TSN le loisir de me faire "vivre" les sports d'équipes, à un bien plus gros qualibre que ce que la Côte-Nord aurait pu m'offrir sur le long terme. Ok! ok! Il y a pas mal de joueurs de volleyball universitaires nord-côtiers et Guy Carbonneau vient de Sept-Iles, mais, emmm, je suis une fille née en 1985 dans une région où il n'y avait pas encore d'équipe de hockey féminin. Puis, je mesure 5 pi 1. Alors, ma compétitivité et mes parents m'ont dirigée vers des sports individuels: ski alpin, natation, vélo de montagne, course à pied, vélo de route, triathlon... À ma manière et selon les moyens dont je disposais, j'ai assez bien performé dans chacun de ces sports. Jeux du Québec en ski, puis en natation, puis en cyclisme: j'ai été très très gâtée.
Ce n'est pas que je sois une mauvaise coéquipière ou encore que je n'ai pas un bon esprit d'équipe: plus jeune, j'ai eu un beau trophé des Cachalots de Port-Cartier pour l'esprit d'équipe! Mais les sports où c'est ma tête et mes propres muscles qui décident du résultats, j'aime bien!
Avec les études post-secondaires et les années, j'en étais venue à me dire que je pratiquais les sports d'avantage pour mon bien-être personnel et donc, que je pouvais très bien faire ça toute seule. Aujourd'hui, je crois sincèrement avoir tort. Et voici le débat très prolifique qui s'est déroulé dans ma tête depuis la dernière année. Puisque, même si le triathlon semble être le sport tout désigné pour vivre l'individualité de l'être à son paroxisme, force est d'admettre que ce n'est pas tout à fait le cas!

1. La raison pourquoi j'ai repris le triathlon en 2008

L'Irlandais. Il m'a sorti de l'état un peu défaitiste provoqué par un début d'arthrose des genoux en 2004, raison pour laquelle j'avais arrêté les sports à risque. Le problème était réglé depuis l'automne 2007 (merci à Jacques de Port-Cartier pour ses bons soins et les indispensables exercices qui ont rééquilibré mes jambes). Mais, c'est l'Irlandais qui m'a donné l'ultime volonté de recommencer à m'entraîner sérieusement et la confiance en moi à CHAQUE sortie que j'effectue depuis. C'est l'Irlandais qui accepte le rôle d'accompagnateur indispensable. Sincèrement, je ne crois pas que je serais capable de rester à l'arrière-scène comme lui et d'en être heureuse. Mais chaque fois que je franchis la ligne d'arrivée, je ne peux m'empêcher de sourir et de me dire que oui, c'est moi qui parcourt la distance, mais il n'est pas loin à côté de moi. Quand ça ne me tente pas d'aller m'entraîner, il me botte le derrière. Imaginez, il a même commencé à venir nager avec moi depuis juillet pour me donner le goût d'y aller avec le sourire! Je témoigne qu'il a de moins en moins l'air d'une roche essouflée! C'est bon pour son cardio donc... Ah! et qui conduit avant et après les triathlons? Qui porte une grosse partie de mon équipement? Qui a acheté un rack à vélo pour l'auto et un trainer pour rouler à l'intérieur? Qui m'a convaincue d'aller aux mondiaux et absorbe en gros les frais de Budapest? Qui a courru avec moi cet hiver à -25? Qui me tend toujours une gourde? Qui me suit en vélo lorsque je fais des intervalles à la course? Qui a etc etc???
Ainsi, on est au moins 2! Pas tant individuel que ça le triathlon, donc!
2. Écoeurantite de vélo aïgue de la fin d'août 2009
Le vélo avec lequel je faisais du triathlon depuis... 2002 était vraiment nul. En fait, moi-même j'étais nulle au vélo. Mes parents, toujours fiers de moi, l'étaient un peu moins durant la partie vélo de Drummondville 2009: oui ça n'allait pas très rapidement mon histoire et c'est tellement plate perdre 30 positions et plus après avoir fait une natation aussi génial. En gros, je n'étais pas une cycliste et je n'aimais pas ça. Le vélo, pour moi, c'était la partie obligée du triathlon, le reste j'ai toujours mieux aimé! Mais c'était un moindre mal jusqu'à l'événement.
Ça, l'événement, c'est ma sortie de vélo une certaine journée d'orage et de vent à la fin du mois d'août l'an dernier. J'ai tellement ragé le vent dans le visage en revenant vers l'Île d'Orléans (mon ancienne adresse). J'avais encore écourté un entraînement que je faisais sans vraiment savoir pourquoi, ni comment, parce que je n'avais PAS de plan d'entraînement. Alors tout bonnement j'étais sortie rouler, sans savoir combien de temps, quelles intensités faire, etc. J'étais sortie parce que mon sport s'appelle le triathlon et que l'un des trois sports s'appelle vélo, that's it! Le vent m'a juste rendue très agressive et très écoeurée. En arrivant à la maison, j'avais seulement le goût de lancer mon vélo et de tout laisser tomber pour seulement me concentrer sur la course à pieds de santé et belle-ligne svelte! Ma belle-mère doit se souvenir de mon visage en entrant les cheveux tous décoiffés et en refermant la porte un peu trop fort et en chiâlant: "Moi j'arrête le triathlon maintenant si je ne me trouve pas quelqu'un pour m'encadrer, je suis écoeurée. C'est ça ou rien." En la regardant, j'ai vu dans son visage que ça n'avait juste pas d'allure comme affirmation. En la regardant, je me suis aussi dit que c'était tellement rien d'écrire un petit courriel à Thierry du Rouge et Or pour lui dire que, oui, finalement, j'étais intéressée par la semaine d'essai avec le club. Est-ce si utile de rappeler que la raison pourquoi je participe aux mondiaux c'est parce que finalement j'ai fait un triathlon à Montréal qui m'a donné suffisament de points pour "voler" la première position à la fille (je suis un peu désolée pour elle quand même) qui avait dominé la saison dernière? Et, finalement, j'ai pu mettre au placard mon vieux vélo, grâcieuseté de mes parents!!! Vive mon bébé spec! Avec les meilleurs entraînements et bébé spec, j'aime beaucoup le vélo maintenant!
Alors, l'Irlandais, ma belle-mère, Thierry, les plans d'entraînement du Rouge et Or... individuel le triathlon?
3. Drummondville 2010 et Budapest 2010
Dernier point et l'inspiration de ce billet. J'ai beaucoup apprécié le triathlon de Drummondville 2010, parce que j'étais loin d'être seule. Sincèrement, ça donne de l'énergie de croiser un tas de maillot comme le sien durant une épreuve. La rivière ne m'a pas fait peur cette année. 1, 2, 3 pas et je plongeais! Meilleure attitude accompagne un meilleur résultat. Et ça c'est parce que tout au long de ma course je me disais: "Hey, là tu ne peux vraiment pas lâcher... ils sont tous dans la même souffrance que toi, à divers degrés c'est certain, mais ils continuent!"
Puis, tous ces gens du club qui vont à Budapest. Depuis que je me suis ouvert la "trappe" à Guillaume Pomerleau, je trouve ça encore plus génial comme expérience. Francine, Martine, Guillaume, Steve... je ne connais vraiment pas tous les noms. Bien sûr, l'Irlandais va y être! Mais le fait de savoir que je ne serai pas la seule à embarquer un vélo sur l'avion me sécurise d'avantage! En plus, on va pouvoir se faire des repas géniaux! Ah! cette gourmandise!
Individuel le triathlon? Oui, parce cela reste une épreuve de combat intérieur et physiologique tant en entraînement qu'en compétition. Mais pour le reste, c'est vraiment une grosse histoire d'équipe! Morale de l'histoire s'il y en a une: athlètes, regardez autours de vous et à chaque fin de saison dites merci! Non: dites merci autant de fois que vous le pouvez!
Mpier :)

dimanche 15 août 2010

Drummondville, travailler de 0h à 8 et quiche fromage de chèvre et asperges!

Drummondville (et récapitulatif des courses de cet été)



Cette année, je me suis un peu amusée avec mon calendrier de courses. Le triathlon de Port-Cartier, en juin était un incontournable (c'est chez moi quoi!!) en plus d'être mon épreuve test pour l'avancement de ma partie vélo. Confirmation faite,je me suis améliorée... quoique la natation et la course n'étaient pas tellement géniales. Sauf que c'était un sprint, pas tellement ma distance favorite.



Puis, en juillet, question de circonstance, je me suis rendue au Nouveau-Brunswick faire un triathlon avec nulle autre que mon ancienne "roommate" du Cégep, Mélanie Bordage. Le triathlon de Beresford vaut la peine d'être apprécié par tout triathlète du Québec au moins une fois dans sa vie! En fait, mis à part les jellyfish qui abondaient dans l'eau de la Baie des Chaleurs et venaient se coller à notre peau, mis à part une première expérience en eau salée et un départ hommes-femmes plutôt rude, l'expérience acadienne est mon coup de coeur de l'été. Avec la chaleur et ces quelques aléas, mon but était de terminer le triathlon (encore un sprint) et d'être totalement vidée. Objectif accompli, et l'Irlandais a conduit pour revenir... une chance et merci! Nul pourrait résumer cette course sans témoigner de l'incroyable machine cycliste qu'est Mélanie, elle est tout simplement impressionnante!



Finalement, c'est hier que j'ai honoré mon inscription à Triathlon Québec 2010. Oui, premier triathlon olympique de la saison inscrit à la fédération. Sincèrement, j'ai attendu un peu trop longtemps pour une distance olympique cette année, d'où un stress un peu trop élevé (mais assez bien contenu, si ce n'est que de mon visage qui en disait long) avant le départ. Premier triathlon avec les membres du club RetO d'UL, enfin! Je pouvais me concentrer sur autre chose que souffrir à la course en encourageant toute personne portant le rouge et or! La course en 4 points:

  1. Natation: Excellente allure, bon positionnement dans le premier pack (4 filles, dont Audrey Nadeau et moi). Mais, crampe au pied gauche sur le troisième côté de la boucle, arrêt à la verticale, calme la crampe et c'est reparti. J'ai pu rejoindre mon pack. Mais, 2e crampe au pied gauche après 800 m. Celle-là faisait VRAIMENT mal et montait tranquillement dans mon mollet. À nouveau, position verticale, godille d'un bras, étirement de l'autre, équipe de sauveteur qui regarde partout sauf vers moi, signe à l'aide de mon bras supposé faire de la godille, gros "HEY J'AI UNE CRAMPE"... Pour que finalement ce soit l'Irlandais qui alerte les officiels depuis la plage!! Bien oui! En gros, je dois avoir perdu 3-4 minutes et je me suis pas mal occupée toute seule de ma crampe. Je suis persévérante alors j'ai pu poursuivre ma course, malgré le kayak qui se faisait un peu trop convaincant pour me laisser m'accrocher à lui (vous voyez, moi et les disqualifications ou les Do Not Finish ne vivons pas sur la même planète). J'étais vraiment enragée dans l'eau et j'ai pris une belle allure jusqu'à la fin. Mais bon j'avais perdu mon pelloton et l'avance qui m'est si indispensable dans un triathlon lorsque vient le temps d'entamer la section vélo...
  2. Vélo: Bon rythme malgré que j'étais ailleurs dans ma tête que dans la course pour un bon bout. 1h20: 4 tours tous égaux en 20 minutes. Pour être honnête, ma piètre performance à la natation (28 épouventables minutes), m'avait rendue moins combative. Malgré tout, j'ai réussi progressivement à reprendre le fil de la course et ma concentration.


  3. Course: Exit les mini-foulées de Port-Cartier, je me sentais bien! J'ai même eu le luxe d'avoir un peu froid (ahah! comme quoi les entraînements entre midi et 18h m'ont apporté une résistence nouvelle). 50 minutes. C'est mon 2e meilleur chrono de course lors d'un triathlon Olympique. Les dernières semaines et la température élevée m'avaient un peu freinée dans les entraînements, alors je peux me permettre d'affirmer qu'à Budapest, ce chrono va être amélioré à nouveau :)


  4. Sentiment général: C'est une bonne course: 2h40.03. Je n'ai même pas besoin d'excuse pour la crampe, puisque j'ai tout de même amélioré mon temps de 6 minutes versus l'an dernier (ok! ok! il faisait 37 degrés!) Aussi, ma vitesse moyenne en vélo est plus rapide qu'à Montréal en 2009 (Montréal est un circuit beaucoup plus plat que Drummondville, avec peu de vent) a.k.a. efforts récompensés!


Travailler de minuit à 8h



Après un triathlon, toute personne sensée doit se reposer. Bien j'ai eu 3 belles heures de sommeil et go pour une nuit au travail. Bilan: je ne me suis pas endormie sur ma chaise, je me suis beaucoup promenée et j'adore les gens que je côtoie là-bas et leur bonne humeur: "Souriez vous entrez en scène" ahah! ça fonctionne!



Quiche fromage de chèvre et asperges



Sincèrement, je cuisine bien et je ne craint pas l'expérimentation. Jeudi dernier, donc, je me suis lancée dans le projet "MPi fait sa première quiche". Puisque je déteste être banale, j'ai opté pour un modèle évolué: vous voyez celle qui fait de vous une cuisinière inoubliable, cette quiche dont tout le monde parle, tellement elle chatouille vos papillles? Bien c'est celle-là que j'ai choisi, tout en adaptant à ma main la recette proposée: muscade et échalottes ajoutaient "ce je ne sais quoi" désiré! Alors, cette quiche: cuisson parfaite, belle couleur, fondante, onctueuse? D'accord! Mais mignone et belle à regarder? Non! parce que j'en ai échappé 60% dans le fond de mon four, puisque je n'avais pas bien dosé le poids de la quiche versus l'assiette d'aluminium. Mon père m'a dit que c'était normal parce que je n'étais pas une ingénieure civil: Martha non plus à ce que je sache! Oh! que j'étais triste, réellement. Si triste que l'Irlandais a refoulé un "wow, ça sent bon" lorsqu'il est revenu du golf, pour ne pas m'attrister du désastre. Moi qui voulait jouer à la Martha Stewart et à la veuve de golf. Ça m'apprendra. Mais, il a adoré la quiche malgré les besoins en chirurgie esthétique flagrant! Vive le golf qui fait fermer les yeux sur l'aspect visuel d'un plat et vivement ma prochaine partie de golf, sur le terrain!





Voilà!



MPier :)

vendredi 13 août 2010

Première entrée, en fait celle que je devais faire hier...

Alors, tel que prévu dans le plan Budapest 2010: le blog à 1 mois de la compétition!

Première entrée rime toujours avec "par qui et pourquoi ce blog?". J'y vais très simplement. Qui suis-je? Marie?(je n'aime pas beaucoup)Marie-Pier? Mpi? Je suis Marie-Pier René, 25 ans, Nord-Côtière habitant dorénavant Québec. Dans la vie future, je serai enseignante. Mais pour le moment, je prépare depuis près de 10 mois la plus grosse compétition de ma vie: les Championnats du Monde de Triathlon groupes d'âges qui se tiendront à Budapest le 12 septembre 2010. Oui, en Hongrie! Cette course, c'est l'objet de ce blog.

Cependant, la vie autours de moi se teinte de nombreux autres éléments. Ainsi, j'aime jardiner, le design d'intérieur, la littérature, la musique, le cinéma, les beaux arts, la cuisine, la politique, l'économie, l'histoire, la géographie, les sciences pures et appliqués, les vêtements, bricoler, les voyages et la liste pourrait s'éterniser à vous endormir fermement. J'aime pratiquement chaque activité que je teste. Et, contrairement à l'Irlandais, j'aime les gens! Je me passionne pour chaque individu qui se présente à moi: ce n'est donc pas innocent ce choix d'être enseignante. Malgré tout, en général, on me trouve un peu étourdissante, particulière, bizarre... mais très attachante. Quoique j'ai parfois un sale caractère et souvent des idées fortes!

L'Irlandais est le personnage clé dans mon fouillis. C'est l'équilibre dans tout ça: impossible de le dissocier de ce blog alors aussi bien s'en habituer: point barre!

Alors voilà, c'est fait.
2e entrée ce soir je crois. J'ai des entraînements et une "liste de choses à faire" assez volumineuse!!

Mpier